Au coup de canon, les conditions sur le plan d’eau étaient plutôt agréables pour les bateaux avec un vent de secteur Sud-Ouest d’une quinzaine de nœuds. Cela ne va malheureusement pas durer comme le confirme Armel :
« Pas de tempête à l’horizon mais de gros systèmes dépressionnaires à négocier. Il sera intéressant d’observer le comportement du bateau dans ces conditions. Cela va beaucoup taper et je vais pouvoir mesurer la justesse de nos choix en termes d’ergonomie et d’espace de vie. Si je parviens, lors de The Transat, à fonctionner efficacement et avec un minimum de confort, j’aurai alors acquis pas mal de certitudes dans la perspective du Vendée Globe. »
Une transat en mode régate
« Mes principaux adversaires sont là. Nous allons tous être logés à la même enseigne entre la Cornouaille Anglaise et le Nouveau Monde. Tous sont prêts, et vont me pousser vers l’excellence. De nombreux choix de route vont s’offrir à nous, rendus plus compliqués par la zone d’interdiction des glaces sous Terre Neuve. Pour un régatier, cela s’annonce passionnant ! »
Pen Duick II avec Loïck Peyron à la barre, s’est également élancé en même temps que le reste de la flotte, ce dernier compte rejoindre New-York en 27 jours à peu près.
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Banque Populaire, mécène de l’Association Eric Tabarly, fera aussi l’écho régulièrement de l’aventure de Loïck Peyron sur Pen Duick II.
