Depuis le début de la semaine, les riders français s’entrainent sur le plan d’eau de Marseille. Cette épreuve multiplie les premières : première épreuve sur le plan d’eau qui sera le théâtre des jeux de 2024 mais aussi première épreuve en pleine mer pour les riders de ce nouveau support volant. Ce rendez-vous sera pour les athlètes l’occasion de découvrir le plan d’eau marseillais, ses subtilités, ses différents effets… à moins de trois ans des jeux olympiques, tous sont impatients de s’affronter en méditerranée.
Nicolas Huguet, entraineur en iQFOil : « C’est la première compétition en mer pour l’iQFOiL, on n’a fait que du lac pour le moment. C’est aussi la première compet sur le site des jeux, on ouvre le bal sur le plan d’eau olympique. Tous les athlètes se sont bien entrainés sur le plan d’eau dans les deux conditions de vent que l’on peut rencontrer à Marseille : le vent d’est et le Mistral. Pour gérer l’ensemble des athlètes, nous sommes quatre coachs actuellement en iQFOiL avec Pierre Noesmoen, Julien Bontemps et Pierre Loquet et nous serons tous sur le pont pour ce championnat d’europe. »
Hélène Noesmoen (Championne du monde 2021 et d’europe iQFoil 2020) : « Mon principal objectif cette semaine sera un repérage technique pour cette première compet sur le plan d’eau des jeux de 2024. Je vais observer le site…Je me mets moins le pression que sur les mondiaux mais je vais quand même chercher la gagne. »
Nicolas Goyard (Champion du monde de iQFOiL 2020-2021) : « Cette semaine, mon objectif est de me faire plaisir ! J’ai réalisé mon objectif sur les championnats du monde cette année. Si je gagne tant mieux mais j’y vais reposer et sans pression. J’ai d’autres compétitions importantes à venir dont la finale de la coupe du monde PWA où je suis leader au général. »